L’Apm vise avant tout à susciter les bonnes questions. Ces questions sont des leviers puissants. Elles permettent à chaque entrepreneur de tracer, au fil des rencontres, sa route, riche et singulière.
L’Apm fait se rencontrer des entrepreneurs d’horizons et d’expériences différentes. Le croisement de leurs expériences permet à chacun de se développer.
Chaque dirigeant devrait pouvoir vivre cette expérience.
Je me vois comme une « happycultrice ». Mon rôle est de promouvoir la culture Apm auprès des entrepreneurs pour qu’ils pollinisent ensuite leur entreprise. Au sein du club, nous poursuivons le même but : apprendre ensemble.
Un club Apm est un lieu rare, au service de l’équilibre du dirigeant et de l’évolution de son entreprise. Un lieu de partage sincère, où l’on cherche à progresser professionnellement et humainement.
L’émotion est souvent présente lors d’une rencontre… Le partage des mêmes valeurs, l’échange sans crainte d’être jugé font de ces rencontres un moment unique qu’on a envie de répéter chaque mois et au fil des années.
Une rencontre Apm, c’est une aventure humaine avant tout autre chose.
Je ne sais jamais ce qui va se passer à l’avance. Les questions, les réactions, les silences et les échanges entre dirigeants font la réussite de la rencontre.
Dans un club Apm, je rencontre des entrepreneurs qui aiment le risque. Un concentré de ce que chacun devrait cultiver : se nourrir de l’incertitude, sortir de sa zone de confort et trouver des vertus à l’échec.
L’importance pour moi c’est simplement qu’un déclic se passe chez eux. J’aime à me convaincre qu’en démystifiant l’innovation, nous retrouverons nos réflexes naturels d’innovateurs et nos entreprises se porteront bien
L’Apm, c’est important pour moi et mon entreprise. Le croisement expertises et expériences permet de sortir du tunnel. Ouvrir le champ des possibles. Trouver des solutions plus vastes et construites.
J’en fais un temps sacré dans l’agenda, bloqué un an à l’avance. Je peux poser des questions sans tabou. Échanger avec des pairs entrepreneurs. C’est un vrai apprentissage